Les organismes détritivores : insectes, champignons et bactéries ont fait un fabuleux travail et ont eu la riche idée de ne s'attaquer qu’au cœur ainsi j'ai pu très facilement éclater l'intérieur et libérer de part et d'autre l'espace nécessaire à l'accueil d'une future colonie d'abeilles. Pour la 3è partie c'est une toute autre histoire...
Ma première ruche-tronc :
Au départ sans appel d'air puis à la manière d'un rocket-stove. Il a fallut deux sessions de feux pour que je sois sure d'avoir atteint la couche dense et saine recherchée.
Ensuite j'ai gratté l’excédent de charbon avec une brosse métallique et le tour était joué.
Ajout des croisillons en noisetier et des trous d'entrée
Reste à ajouter une toile cirée entre le fut et la tranche de tronc qui fera office de clé puis assurer la protection contre la pluie avec une plaque de verre ou autre chose que j'aurais sous la main.
Première mise en place près de son cousin le vieux saule déjà habité.
Génial je recherche aussi un donnateur pour m.en faire une ..
RépondreSupprimerA bientot pour la suite jespére
Bonjour, je fabrique moi mm des ruches troncs, que voulez vous dire en disant atteindre la couche saine, les abeilles ne se charge t'elles pas de rendre sain l'intérieur du tronc, je n'ai jamais fait de feu et mes abeilles se portent a merveille
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerJe construis également des ruches tronc. Pour ma part je fais tout à la gouge (après avoir dégrossi à la tronçonneuse). Mais je ne cherche pas de couche "saine", simplement un espace intérieur adapté (pas trop grand pour l'hiver et pas trop petit pour accueillir un essaim de taille resonsable). Je garde de toute manière au moins 4cm d'epaisseur de bois pour isoler un minimum (j'habite en haute savoie à 1100m)
Si nous avez des astuces de fabrication je suis preneur. Notament sur la nécessité de mettre en place une aération convenable à l'interieur (pas de courant d'air mais une évacuation de l'humidité, comment faites vous?
Merci
À+
Laurent